Le blog de Maël et Virginie: Bien arrivés à Montréal !

Et voilà, nous sommes arrivés sur le sol canadien !
Après nos "au revoir" à nos familles lundi dernier, nous avons pris le train à la gare de Nantes direction Roissy. Nous étions tout émus mais motivés de commencer cette nouvelle aventure !

Après une nuit à paris et une première frayeur quand nous avons loupé la navette qui nous emmenait à l'aéroport, nous avons passé la douane sans gros soucis, sauf pour Maël qui a dû ouvrir sa sacoche d'ordinateur. Et là, le douanier français est tombé sur le magnifique CD live de Céline Dion que nous avaient offert ses copains. Face au regard amusé du douanier, Maël s'est comme senti obligé de lui dire "euh non c'est pas pour moi..." !

Les 7 heures d'avion se sont très bien passées, on a même eu le droit à la petite bouteille de champagne !

On a eu aussi un avant-goût de l'accent québecois avec les hôtesses de l'air, qui nous ont demandé si on voulait boire du gaz (???), c'est à dire une boisson pétillante.
Avec des plateaux repas et des snacks toutes les heures, on est arrivés à Montréal le ventre bien plein et très impatients de découvrir ce nouveau pays.
Mais avant cela nous avons du passer par le service immigration pour obtenir le précieux visa Vacances-Travail. 1h30 d'attente et une ambiance un peu pesante : tous les nouveaux arrivants se retrouvent assis dans une pièce et sont appelés un par un à un guichet. Il faut montrer patte blanche et avoir tous les papiers exigés. Et ça ne rigole pas avec la douane canadienne : nous avons vu plusieurs personnes se faire refuser ou passer de véritables interrogatoires par la police locale.
Finalement pour nous, aucun soucis, nous sommes tombés sur un agent très sympa qui nous a donné le visa en 10 min.
Ensuite direction notre auberge pour poser nos bagages et commencer à visiter Montréal. Un accueil très chaleureux par deux gérants (un français et un quebecois) qui nous ont tout de suite indiqué de bonnes adresses et nous ont aidé à nous repérer.
Un peu de mal quand même à se faire au décalage horaire. A 18h à Montréal, il était 23h en France et nous avions déjà un petit coup de fatigue. Nous nous sommes quand même forcés à tenir le coup jusqu'à 21h pour prendre rapidement le rythme local.